Letra: José Maria Antunes
Música: Artur Ribeiro
Fitei o teu olhar, só vi ternura
Beijei os lábios teus, vezes sem fim
Senti dentro de mim tanta loucura
Que fui roubar o sol e quando vim
Eu pus raios de sol na noite escura
E tu roubaste a lua para mim.
Somos dois loucos
Seguindo em frente
Teimosamente
De mãos dadas, rostos unidos
Somos dois loucos
Apaixonados
Mas não culpados
De sermos loucos varridos.
Tu és toda a razão dos meus pecados
Eu sou a tentação dos sonhos teus
Também sou a razão dos teus cuidados
E tu a inspiração dos versos meus
Nós dois, em oração ajoelhados
Pedi-mos por este amor, perdão a Deus.
quinta-feira, 19 de novembro de 2009
sexta-feira, 6 de novembro de 2009
"Un Fado"
Une adaptation de Fado en Francais!
Sur la musique de "Fadinho Serrano" dont le poème est de Hernâni Correia et la musique de Arlindo de Carvalho ... "Un Fado" adaptation de Pierre Cour
Ce n'est presque rien, c'est un peu de vent
Rien qu'un peu de vent, rien qu'un peu de ciel
C'est un bâteau blanc, ivre de soleil
Et les rêves bleus des yeux d'un enfant
Mais lorsque son coeur est caché dedans
ça fait un fado, un fado, un fado.
Ce n'est presque rien, c'est un rocher blanc
Déchirant aveugle pour voler son coeur
C'est l'oiseau de mer criant sa douleur
Et le baiser fou de l'été brûlant
Mais lorsque le soir est caché dedans
ça fait un fado, un fado, un fado.
Minuit sur la plage, le temps des amants
De ces amants là, qui n'ont que l'amour
Un amour d'enfant, un amour d'un jour
Que viendra bientôt emporter le vent
Dans le matin blanc où renaît le jour
De ces amants là aux yeux bien trop grands
Mais lorsqu'une larme est cachée dedans
ça fait un fado, un fado, un fado
Sur la musique de "Fadinho Serrano" dont le poème est de Hernâni Correia et la musique de Arlindo de Carvalho ... "Un Fado" adaptation de Pierre Cour
Ce n'est presque rien, c'est un peu de vent
Rien qu'un peu de vent, rien qu'un peu de ciel
C'est un bâteau blanc, ivre de soleil
Et les rêves bleus des yeux d'un enfant
Mais lorsque son coeur est caché dedans
ça fait un fado, un fado, un fado.
Ce n'est presque rien, c'est un rocher blanc
Déchirant aveugle pour voler son coeur
C'est l'oiseau de mer criant sa douleur
Et le baiser fou de l'été brûlant
Mais lorsque le soir est caché dedans
ça fait un fado, un fado, un fado.
Minuit sur la plage, le temps des amants
De ces amants là, qui n'ont que l'amour
Un amour d'enfant, un amour d'un jour
Que viendra bientôt emporter le vent
Dans le matin blanc où renaît le jour
De ces amants là aux yeux bien trop grands
Mais lorsqu'une larme est cachée dedans
ça fait un fado, un fado, un fado
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